Le Gladiateur – Copie Peinture

Le Gladiateur – Copie Peinture

1,00196,00

Le Gladiateur – Copie Peinture

Impression Fine Art Hahnemühle
Plusieurs Tailles
Signé par l’auteur
Ou fichier téléchargeable

Description

Le Gladiateur - copie - peinture néo expressionnisme - tmpx

Le Gladiateur – Copie Peinture

Numérique – tmpx – 14 Mai 2019
Peinture – tmpx – Décembre 2019

Impression Fine Art Hahnemühle
Thèmes: sociétale, histoire, animaux, allégorie (arts visuels)

Tailles cm : 75 x 60 x 0.3
Tailles inch : 29.53 x 23.62 x 0.12

Signé par l’auteur


Le Gladiateur – Copie Peinture

Œuvre néo expressionnisme tmpx – Le Gladiateur – Copie Peinture
Ici > L’oeuvre originale tmpx

Le Gladiateur

Sous l’empire romain, dans les arènes, les esclaves et les prisonniers de guerre
étaient mise en scène, afin de, se combattre jusqu’à la mort.

On les appelait les Gladiateurs.

Les gladiateurs (du latin Gladiatores, de Gladius, glaive, signifiant « combattants à l’épée », ou « épéistes »). Ils étaient, dans la Rome antique, des combattants professionnels qui, en général, s’affrontaient par paires bien définies.

Chacun des deux adversaires appartenant à une catégorie, ainsi que de techniques de combat spécifiques.

L’origine des combats de gladiateurs se retrouve en Italie du sud, où le combat en armes entre membres de la même famille avait, d’une façon générale, d’honorer la mémoire d’un mort.

Les plus anciennes ont été retrouvées en Campanie dans des tombes à Paestum, datées entre 380 et 320 av. J.-C.

Historique

À Rome, le plus ancien combat de gladiateurs mentionné dans les textes, en effet, se déroule en 264 av. J.-C. avec trois paires d’esclaves. Organisé lors des funérailles de son père par Decimus Junius Brutus sur le Forum Boarium.

Le marché aux bœufs de Rome, espace à caractère utilitaire et sans prestige situé près de l’extrémité nord du Circus Maximus. Ce combat fut rapidement suivi par de nombreux autres. Ainsi, en 105 av. J.-C., les jeux devinrent publics.

Le caractère funèbre de ces affrontements s’effaça progressivement à Rome, par conséquent, les combattants devinrent des professionnels. Qu’il s’agisse d’hommes libres engagés ou d’esclaves.

Ces combats, qui se déroulaient dans le cadre d’un amphithéâtre, devinrent le spectacle favori de la foule romaine. Organisés selon des modalités précises, ils pouvaient se terminer par la mort d’un des deux adversaires.

Au IVe siècle, ils firent l’objet de restrictions par l’empereur Constantin Ier, mesure sans effet réel avant la fin du IVe siècle.

Plus que des interdictions, c’est la répugnance des élites à supporter le poids financier des Munera à la suite de l’affaiblissement des villes et de la récession économique qui aurait entraîné la disparition des gladiateurs.

Sources

Les sources pour la connaissance de la Gladiature sont relativement abondantes. Mais inégalement réparties dans le temps. Elles ne manquent pas pour le Haut-empire, mais sont nettement plus rares pour les autres époques.

Elles sont de nature diverse : sources littéraires, épigraphiques et iconographiques. Mais également, quoique très rares, des artefacts.

Les Romains ne nous ont pas laissé, et peut-être n’ont jamais rédigé, et même, de « traité » de Gladiature.

En compensation, nous disposons de nombreuses sources littéraires, dont le sujet n’est pas la Gladiature mais dans lesquelles on peut glaner des informations éparses.

L’iconographie est abondante et les supports divers. Mosaïques, bas-reliefs, statuettes, peintures, mais aussi des graffiti ainsi que de nombreux médaillons de lampes à huile.

Elle nous renseigne sur la panoplie des gladiateurs, ainsi que sur leurs techniques de combat et leur évolution.

C’est l’épigraphie qui nous permet de découvrir des destins individuels au travers d’inscriptions funéraires riches en renseignements sur l’âge, l’origine, la carrière, la famille d’un gladiateur ou même sa mentalité.

Les artefacts sont rarissimes. La plupart des pièces d’équipement découvertes l’ont été dans un seul endroit, à savoir, la caserne des gladiateurs de Pompéi.

Déroulement d’un combat

Les gladiateurs commencent par saluer l’éditeur, qui exerce la présidence du munus, d’où, une fonction qui l’amène à prendre des décisions importantes.

Les auteurs modernes pensent que l’éditeur procède à ce moment à l’examen préalable des armes. Des membres du personnel préparent le feu, les verges et les fouets, qui servent à rappeler à l’ordre un gladiateur qui manquerait d’ardeur au combat.

L’arbitre, que l’on appelle rudis en latin d’après la baguette qui lui permet d’intervenir pendant le combat. Donne quelques instructions aux combattants qui se livrent à un ultime échauffement.

L’éditeur donne le signal (signum pugnæ) et par conséquent, les combats commencent. Ils sont accompagnés de musique.

L’orchestre, qui joue de la trompette (tuba en latin) et du cor (cornu en latin), est installé dans l’arène. L’emploi d’un orgue hydraulique est mentionné, désormais pour la première fois, sous Néron.

Héros de l’arène

Les gladiateurs les plus talentueux jouissaient d’une immense popularité. Un thrace surnommé Suspirium Puellarum, « le soupir des jeunes filles » sans délai, mettait en transe les femmes de Pompéi.

Les nombreux graffitis qui mettent en scène les acteurs de l’arène témoignent aussi de cet engouement.

Dans l’une de ses Satires, le poète Juvénal a raillé ces passions incontrôlées. Epia, une épouse de sénateur, abandonna son notable de mari pour suivre un aventurier.

Sergiolus, un gladiateur charismatique, malgré son bras tailladé et son nez cassé et l’accompagna jusqu’en Égypte

Dans l’art et la culture populaire

Au cinéma, le genre du péplum désigne les films dont l’action se situe historiquement dans l’Antiquité et notamment celle de la Rome antique.

De nombreux péplums ont mis en scène la vie quotidienne des gladiateurs et ont reconstitué,d’une façon générale, leurs combats dans l’arène.

Parmi les plus connus, on peut citer Spartacus (de Stanley Kubrick, sorti en 1960).
Barabbas (de Richard Fleischer, sorti en 1961).
Le Fils de Spartacus (de Sergio Corbucci, sorti en 1962).
Gladiator (de Ridley Scott, sorti en 2000).
Ou encore la série télévisée Spartacus : Le Sang des gladiateurs (de Steven S. DeKnight, Robert Tapert et Sam Raimi, diffusée en 2010).

Des documentaires ont également été consacrés au sujet, comme Gladiateurs, docufiction franco-britannique diffusé en 2004 et inspiré de la vie du gladiateur Verus.

Texte Wikipedia

Informations complémentaires

Poids ND
Dimensions ND
Qualité

Signature

Supports

Tailles

, , ,

Themes

, , ,

Téléchargement

Tailles P(tmpx)

Taille P15 : 75*60 cm – 29.53 x 23.62 inch
Taille P20 : 100*80 cm – 39.37 x 31.49 inch
Taille P25 : 125*100 cm – 49.21 * 39.37 inch
Taille P30 : 150*120 cm – 59.05 * 47.24 inch

Fichier téléchargeable:
HD – Haute Définition – 72 pp – 2500 px (coté le plus grand)

Téléchargements

Licence Creative CommonsFichier Numérique
Plus grande résolution sur demande contact@tmpx.fr

Photographie de Peinture Originale
Cette œuvre est mise à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution 4.0 International.

L’œuvre peut être utilisée librement (copie, diffusion, modification). Mais le nom de l’auteur « tmpx.fr » doit être obligatoirement apparent.

Taille 2500 px (Grand côté)- Résolution maximale 72 pp

L’auteur d’une œuvre de l’esprit jouit sur cette œuvre, du seul fait de sa création, d’un droit de propriété incorporelle exclusif et opposable à tous». Article L. 111-1du code de la propriété intellectuelle (France)

Fine Art Hahnemühle

Papier Fine Art
Hahnemühle 210 gr/m2

Les papiers jet d’encre FineArt répondent aux plus hautes exigences en matière de reproduction d’oeuvres d’art grâce à des résultats d’impression extraordinaires et une excellente conservation (plus d’un siècle).
Ils conviennent parfaitement aux expositions, collections d’art et éditions prévues pour durer.
Pour se conformer à ces exigences, des papiers d‘arts ultra-purs, de haute qualité sont utilisés comme base papier.
Des feutres naturels de conception spéciale donnent à ces papiers leur surface unique.
Celle-ci confère au motif un caractère tridimensionnel qui améliore le résultat de l’image grâce à une grande intensité.
Les papiers FineArt fabriqués à base de coton ou d’alpha-cellulose se distinguent par leur forte main, leur volume exceptionnel et leur texture particulière.

Avec le couchage jet d’encre haute résolution qui permet de restituer de manière impressionnante les couleurs et les détails, de produire de magnifiques contrastes et de faire ressortir des noirs intenses, les papiers jet d’encre FineArt constituent un ensemble luxueux de produits haut de gamme.

Vous aimerez peut-être aussi…