tmpx. Galerie

Bienvenue dans mon univers !

Ensemble, plongeons dans ce monde où les couleurs acryliques jaillissent des tubes comme des confettis de joie. N’hésitez pas à me faire part de vos avis et impressions sur mes derniers tableaux, ainsi que de vos coups de cœur. Je serais ravi d’échanger avec vous en l’espace de quelques clics.

Mes débuts

Pour la petite histoire, j’ai vu le jour à Paris en 1960, la ville où les palettes de couleurs trouvent leurs sources et les contrastes, leurs éclats. La capitale des artistes, où même les pigeons savent esquisser un croquis !

Premier contact avec l’art

J’ai pataugé dans la culture de l’Art avant même d’apprendre à marcher. Imaginez un bambin entouré de reproductions de peintures de grands maîtres, renouvelées tous les quinze jours. Les tableaux de Picasso, entre autres, me faisaient peur ! Né dans l’atelier de ma grand-mère Biba, artiste peintre et caricaturiste, j’ai grandi entouré de toiles et de pinceaux. Biba, réfugiée russe de la grande révolution bolchévique de 1917, transformait des photos en toiles dignes des grands maîtres.

À l’âge de trois ans, ma grand-mère a découvert mes capacités en dessin. Elle m’a permis de laisser libre cours à ma créativité avec amour et sans réserve jusqu’à sa disparition, quand j’avais 21 ans. À 64 ans, elle reste la femme la plus présente dans mes pensées nostalgiques…

Mon autonomie

À 20 ans, après la perte de mon père, je deviens le chef de famille. Ce nouveau rôle m’a rendu plus fort, et m’a poussé à déployer mes ailes comme un super-héros des temps modernes, mais avec un tablier de peintre plutôt qu’une cape.

Ces bouleversements se sont exprimés à travers des sculptures sur pierre, un mélange de gargouilles et d’arts précolombiens. Vous auriez dû voir la tête des gens quand ils voyaient une gargouille en train de danser la salsa !

Mon parcours de vie

À la trentaine, j’ai déménagé aux portes d’Orléans avec ma famille et monté une entreprise dans le bâtiment. Pendant mon temps libre, je continuais à dessiner et à explorer le moulage sur corps humain. Mes enfants me prenaient pour un alchimiste transformant le plâtre en or (ou presque).

Plus tard, je me suis reconverti en pizzaiolo, utilisant mon restaurant comme salle d’exposition. Rien de tel qu’une pizza pepperoni servie avec une pincée de culture artistique.

Pseudo tmpx ?

« tmpx » vient de mes enfants. De « papa » à « papax », jusqu’à « Tampax » (oui, comme la marque de tampons hygiéniques !). Dans les magasins, quand mes enfants m’appelaient « Tampax », mon côté anticonformiste était sublimé et surtout, cela me faisait beaucoup rire de voir la tête des gens. Mais mon ami Renaud, avec une diplomatie toute en finesse, m’a convaincu de préférer l’acronyme « tmpx », plus politiquement correct. Et voilà, mon nom de scène était né, digne des plus grands artistes underground !

Mon retour sur Paris

Au début des années 2000, après un divorce, j’ai eu la garde totale de mes trois enfants. Revenu en région parisienne, je dirige une école d’ULM tout en continuant à dessiner, peindre, sculpter et modeler. Imaginez-moi, volant comme Icare, mais en évitant de me brûler les ailes.